Les tribulation d’un gaulois en Crète. Que la montagne est belle.
La montagne, ça vous gagne. Non ?
En Crète, la montagne gagne. Toujours. L’été est chaud et sec, l’automne froid et humide, l’hiver glacé et parfois neigeux. Reste le printemps, fleuri et bucolique, mais avec des risques de chaleurs excessives ou de pluies diluviennes.
Ce serait un texte pour un guide touristique il y serait question de plages idylliques et de clubs de vacances. Personne ne voudrait savoir que le climat est rude. Cela se comprend.
Les montagnes ont fait la Crète et l’ont sauvée à maintes reprises.
La mythologie grecque nous raconte la naissance de Zeus, le roi des Dieux. Son père, Cronos, ayant appris que sa progéniture prendrait sa place, décida, simplement, d’avaler tous ses enfants.
Sa mère, Rhéa, laissa ses deux premiers nés se faire engloutir, mais réagit quant au troisième.
A la place de Zeus, elle laissa Cronos engloutir une pierre et confia son fils aux Naïades. Des divinités qui l’élevèrent dans la grotte du mont Dikti. Ses vagissements étant divin, elles le déménagèrent sur le mont Ida où d’autres divinités, les Courètes, frappaient leurs boucliers afin de masquer les cris du Dieu.
Si la montagne a été bonne pour Zeus, elle le fût aussi pour les hommes. Les seules routes pavées et praticables se trouvaient en plaine. Et pour cause, dans les montagnes, ne montaient que des ânes, des chèvres et des moutons. Cela ne posait pas de problèmes au peuple crétois, mais énormément à leurs envahisseurs. Dès 1645 les Ottomans tentèrent de soumettre la totalité de l’île. Les grandes villes du Nord sont tombées rapidement. Les riches plaines agricoles ne posèrent pas de problèmes.
Mais malgré leur puissante artillerie, ils ne parviendront jamais à mettre réellement à bas les armes à tous ces villages isolés des montagnes de la côte sauvage. Ils arrivaient certes, à monter leurs lourds canons au prix du sang de leurs esclaves sur des chemins tortueux, mais arrivés en haut, les irréductibles étaient partis depuis longtemps. Alors,ils détruisaient les villages.
Comme une déroute ne sert jamais de leçon, les nazis en 1941 se cassèrent les dents sur ces énormes rochers pour les mêmes raisons. Leur solution fût simple et identique. Les villages martyrs ne se comptent plus.
Le climat est rude, le vent violent balaye le sable, la glace gèle, le soleil brûle, la pierre éclate car ces montagnes sont vieilles.
Chaque heure du jour dévoile un nouveau visage à ces monstrueux cailloux. L’ombre et la lumière y créaient des merveilles qu’un artiste ne saurait reproduire. ou même décrire.
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