Pour transformer l’esclavage en liberté
Ce lundi ne représente pas que la première journée d’une semaine qui s’annonce longue. Le 16 avril marque aussi, depuis 1995, la journée de lutte contre l’esclavage des enfants, l’occasion de revenir sur un trafic planétaire. Selon l’Organisation mondiale du Travail (OIT), l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) et la Walk Free fondation, 40 millions de personnes étaient en situation d’esclavage dans le monde en 2016. Parmi elles, une sur quatre est un enfant.
Le constat est accablant. L’OIT comptait en 2017 environ 152 millions d’enfants contraints de travailler soit près de 10% des enfants de la planète. Si on peut se réjouir d’un chiffre global en diminution (on comptait 215 millions de mineurs au travail dans le monde en 2011), la situation n’est pas pour autant réglée. L’esclavage ne signifie pas seulement un travail dans des conditions illégales. Il faut penser aussi à tout forme de travail forcé sans consentement, les formes de servitude pour dette et la traite des enfants que l’on qualifie sous le terme « d’esclavage moderne ».
Le but de ces pratiques à éradiquer est l’exploitation qu’elle soit sexuelle, laborieuse, domestique ou organique. La traite des enfants reste le point le plus opaque du trafic et les chiffres restent difficiles à déterminer. Toutefois, l’UNICEF dénombrait environ 60 000 enfants victimes de trafic d’êtres humains entre 2012 et 2014. Qui sont les premières victimes ? Des enfants fragilisés et isolées en migration dont les trafiquants abusent.
Dans cette bulle opaque évoluant à l’encontre des droits de l’homme, l’exploitation sexuelle et les mariages forcés perdurent. En 2017, environ 5,7 millions d’enfants ont été forcés de se marier, en majorité des filles. Concernant l’exploitation sexuelle, considérée comme » l’une des pires formes de travail des enfants » par l’UNICEF, elle est d’autant plus marquée dans les pays sinistrés comme le Népal suite au séisme de 2015.L’absence d’harmonisation des juridictions nationales et l’évolution des différentes formes de tourisme permet parfois aux trafiquants d’échapper à l’application des droits fondamentaux. Cette forme d’esclavage ne doit pas occulter l’exploitation industrielle ou agricole des enfants au service d’un profit marchand. Une situation qui confronte les jeunes victimes à la violence, à des dangers sanitaires, à l’impossibilité d’une scolarisation et à la violation de leurs droits.
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