Payer d’un coup de poignet avec Weecop

Photo of author

openminded

Publié :

weecop

 

Vous payez en liquide ? Non, en bracelet Weecop !

 

Un bracelet connecté pour payer sa pinte de bière, il fallait l’inventer ! Sous le nom de Weecop, l’invention donne un sacré coup de main aux étudiants trop dépensiers. 

 

Cédric, Antoine, Julien et Sébastien sont les jeunes papas du projet Weecop. Les quatre étudiants Tourangeaux connaissent très bien la galère du budget étudiant mal maîtrisé. Même si l’on limite les sorties, on se retrouve toujours à la fin du mois sans un rond. Même si on sort qu’avec un billet de vingt euros en poche, on se retrouve souvent avec une dizaine de factures en poche.
Le bracelet Weecop sert de moyen de paiement. Son utilisation évite ainsi de se balader en soirée avec du liquide, ou de dégainer machinalement sa carte bancaire pour rincer sa bande de potes. On ne peut pas être étudiant et mener une vie dorée aux allures de celle du Loup de Wall Street.

 

weecop

(photo: la nouvellerepublique.fr)

Plus de liquide dans nos poches, de carte bancaire dans nos sacs et notre smartphone alors ? Le payement Weecop est totalement différent du payement via smartphone, mais l’utilisateur n’en aura pas besoin pour payer. Avant de partir en soirée il va recharger son compte via l’application Weecop, fixer ses limitations de dépense, ajouter ses sécurités et partir en toute sérénité. En perspective, pas de mauvaises surprises le lendemain. D’autant plus que le bracelet Weecop est totalement étanche et ne nécessite aucune batterie. Deux caractéristiques que notre fidèle GSM ne possède pas.

Comment payer son kebab ? C’est très rapide. Le commerçant scanne ton bracelet. Tu entres tes sécurités. Le paiement est validé. La manipulation dure 7 secondes, pas plus.

 

weecop

 

À Tours, il est désormais possible de payer avec ce bracelet. 35 enseignes, partenaires de la start up, l’ont accepté : bars, boîtes de nuit, fast food… Le projet des étudiants serait de l’exporter dans les principales villes étudiantes de France. Pour cela, ils espèrent rassemble un total de 15 000 € via un financement participatif, dans le but de développer leur modèle à Nantes, Poitiers et La Rochelle !

 

Lorsqu’on sait qu’il y a 52 jeudis soirs dans l’année (et on ne compte pas les week-ends) et 75 % des étudiants qui affirment exploser leur budget en soirée, Weecop a une chance de devenir le grand frère de notre porte monnaie !

 

Camille Bresler

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.