J’oubliais, les girls band aussi…
Comme vous il m’arrive de ne pas réussir à travailler et je pars, sans même m’en rendre compte, dans les limbes d’Internet. Je passe par différentes étapes, d’abord j’essaye de lire des trucs pour me rendre un peu plus intelligent puis très vite ça dérape. Je pénètre un monde inconnu à chaque fois sauf que la dernière était tellement énorme que j’ai dû en faire un article. J’ai découvert que les boys et girls band avaient refait surface. En fait, j’ai surtout découvert que comme tout le monde – sauf Madonna – je vieillissais et que je n’étais vraiment plus à la page. Du coup, j’ai décidé de vous proposer une liste non exhaustive des groupes que j’ai trouvés. Attention, ne mettez pas le son trop fort c’est assez désagréable.
CNCO – Le boys band version latino bambino
CNCO c’est 5 mecs, qui ont entre 16 et 21 ans, qui font de la chanson « sensual » avec une petite moue et le regard perçant. Leur hit c’est « Raggaeton Lento« : des petites notes de guitare, un rythme caliente, des cris de temps en temps et bien sûr, une petite chorégraphie. On rigole mais les mecs ont fait plus d’1 MILLIARD de vues sur Youtube. J’étais passé à côté. Honte à moi.
Why don’t we : Le pur boys band tout sucré
Why don’t we qu’on appelle aussi WDW si on fait genre on est dans le coup, c’est également 5 mecs de 16 à 19 ans qui chantent majoritairement sur les femmes, l’amour et l’éjaculation précoce – rayez la mention inutile. Ils viennent de Los Angeles et nous proposent une version un peu édulcorée et bon chic bon genre du boys band. Ils sont respectables et de bonne famille et ne cherchent pas à faire les thugs. Leur dernière chanson parle de la difficulté de choisir une fille à présenter à sa mère parce qu’ils ont trop de propositions. Résultat : 1 200 000 abonnés sur leur page Youtube quand même.
PS : Pour la petite histoire, ce qui les a aidé à devenir aussi connus c’est qu’ils sont dans les Vlogs – hahah – et les vidéos youtube de Logan Paul.
Citizen four : Les plus « capilairement » avancés
Franchement j’ai essayé de pas être méchant mais là c’est vraiment trop. Je ne parle pas de la musique qui n’est pas plus affreuse que ce que l’on peut entendre parfois à la radio ou bourré à 5h du matin. Non le problème, c’est les attitudes. On est face à un groupe de cheveux longs, qui nous fait du regard mystérieux, de la main dans les cheveux, du petit déhanché et ça ne fait pas de doute, le monteur du clip venait de découvrir l’option ralentie car ils nous en met à toutes les sauces pendant de longues minutes. Sans rancune les mecs, vous m’avez fait rire. PS : 358 000 vues pour ce clip sponsorisé par Jean Louis David.
In real life – Je sais plus quoi dire
Bah en vrai c’est comme les autres du dessus. Sauf qu’ils ont sorti une seule chanson, en septembre 2017 et qu’elle a déjà fait 1 200 000 vues. Je vous laisse écouter, si vous en avez la force et après on passe aux filles parce que c’est difficile pour moi là.
Paris INC – Mi-bad girls Mi-sympas
4 Australiennes qui font des reprises de tubes du moment, c’est un girls band ou pas ? Aucune idée, mais je me suis dis que ça nous ferait pas de mal d’élargir les recherches. Découvertes aux X-Factors, Paris INC est devenu une sorte de « référence » pour les cover. Par contre elles n’ont pas encore misé sur les gros clips ou les chorégraphies et en même temps c’est pas plus mal.
Little Mix – La torture, la vraie.
C’est clairement les Pussycat Dolls version 2017 sauf qu’elles sont 4 et Anglaises. Les Little Mix prônent le girl power et nous proposent des clips au budget illimité sur de la musique semi pop, semi R&B semi « dance ». Un mélange qui donne le tournis. Comme tout girls band qui se respecte c’est des grosses chorégraphies, des gros solos avec la voix qui part super haut et des cheveux, des vocodeurs, des regards qui vont en bas, puis dans la caméra, puis encore en bas – Askip ça donne un côté mystérieux sexy. Je vous laisse avec un clip country. De la torture qui fait quand même 85 000 000 vues.
BONUS : Un boys band et un girls band qui font un featuring – #FULLBUSINESS.
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