Ce que vous ne savez pas sur Théo Gosselin

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Envie d’un road trip ?

 

– Il aime la vision « trashouille » de Larry Clark

On t’avait déjà parlé de Larry Clark, tu te souviens ? Et ben Théo Gosselin avoue aimer certains de ses films. Ce qu’il aime dans son travail, c’est l’émotion que l’américain arrive à imprégner. C’est même le nom qu’il cite quand on lui demande par qui il voudrait se faire photographier.

Théo

– Le numérique, c’est pas automatique

Son truc à lui c’est plutôt l’argentique, et comme de plus en plus de photographes il travaille principalement là-dessus, pour plein de raisons. Déjà parce que quand il part en road trip, ça fait moins de matériel à trimballer. Pas de batteries, pas d’ordinateur pour retoucher, pas besoin d’une connexion internet pour poster les photos… Au final quand tu y réfléchis ça fait gagner pas mal de temps que tu peux consacrer à autre chose, comme admirer les paysages par exemple. Et puis aussi parce qu’il a commencé comme ça. Les premières amours, ça marque.

Théo

– Travailler tout seul, très peu pour lui

Théo Gosselin n’aime pas bosser seul dans son coin. Sauf quand il n’a pas le choix évidemment, mais il fait en sorte de pouvoir se faire accompagner. Amis, collègues, famille… la compagnie de tout ce petit monde est pour lui source de motivation et de progression permanente.

Théo

– Est-il un photographe nomade ?

En tout cas il bouge beaucoup, ses photos sont des représentations de voyages faits avec ses proches. Le but pour lui, c’est de les photographier dans chaque étape de leur vie, et pour ça il faut bouger. Il a notamment fait un voyage coast to coast aux USA il y a quelques années.

Théo

– Des racines en France malgré des projets à l’international

Voyager aux USA et tout autour du globe d’accord, mais il vient de l’Hexagone le garçon. De Normandie même, pour être exact, au Havre. Il a fait des études de design graphique à Amiens, à propos desquelles il concède n’avoir pas beaucoup bossé. En parallèle, il faisait beaucoup de photos.

Théo

– Il ne met pas sa vie en scène

À ceux qui lui reprochent d’inonder les réseaux sociaux avec des clichés sur sa vie, il répond simplement que non. Ses photos sont la représentation de ce qui l’entoure, et en aucun cas sa propre vision des choses.

Théo

– Puisqu’il faut bien payer les factures… il a bossé pour plein d’annonceurs

Repéré par l’agence Sid Lee Paris alors qu’il est tout juste âgé de 20 ans, il a d’abord réalisé une campagne pour Jules. S’ensuivirent alors d’autres collaborations avec Bouygues Télécom, Bonobo Jeans ou encore Orange. C’est après ça qu’il a pu réellement commencer à exprimer ce qu’il ressentait.

Théo

– On lui doit même un film !

Toi qui est fan de ce normand, tu savais ça ? Il l’a fait avec des amis le temps d’un road trip aux États-Unis dans un vieux van qui a failli les lâcher plus d’une fois. Ils l’ont appelé « Goodbye Horses », et on ne te fera pas l’insulte de traduire. Filmé avec 3 caméras, c’est surtout, selon les protagonistes, « un film sur des mecs qui essaient de faire un film ».

Théo

– L’affiche du Salon de la Photo 2015, c’est lui !

Enfin c’est lui qui l’a faite, pas lui qui est dessus. Après quelques années passées à faire quelques petites expos sur le salon, les organisateurs lui ont demandé de se charger de l’affiche. Théo a passé pas mal de temps à travailler dessus, parce qu’il y a pas mal de critères à remplir pour une affiche de ce style. Mais le hic c’est que la photo choisie ne lui plaît pas, ou en tout cas ce n’est pas sa préférée. Et pour la petite histoire c’est Maud Chalard la modèle, laquelle est également sa compagne.

Théo

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