Quand le DGTL s’invite à Barcelone
Si vous aviez encore des doutes sur la qualité du festival DGTL, avec tout le rêve qu’on va vous vendre dans ces quelques lignes, vous auriez tout de suite envie de prendre le prochain avion. Non, quand même pas. Retour sur l’édition barcelonaise, qui avait tout de même était déjà un vrai succès à Amsterdam.
Après quelques périples personnels qui m’ont couté un bras et 4 salaires, me voici arrivée à bon port, dans la merveilleuse ville qu’est Barcelone.
Il fait chaud, les tapas sont bonnes, et on va encore boire plus de sangria qu’il ne le faut. Anyway, les vacances au soleil seront placées sous le signe de la fête.
Vendredi, premier jour de barbarie. On aurait presque eu envie de ramener le petit parapluie qu’ont tous les chinois, à défaut de faire nos bons vieux touristes.
39° à l’ombre, le festival commence peu à peu à battre son plein, le mot d’ordre pour cette édition sera : réussite. DJs locaux et internationaux se succèdent sur les scènes du Parc del Forum, lieu où l’architecture a également retenue notre attention, puisque modernité et street art cohabitent.
Côté concept, le festival n’a rien changé à sa philosophie de vie. Festival écologique et vegan, le DGTL a mis en place des moyens utiles afin de lutter contre le gaspillage, notamment. Verre éco et réutilisables, espaces construits avec des matériaux recyclés par des artistes locaux, plantes que l’on pouvait arroser, nourriture 100% vegan (désolée pour les carnivores), etc.
Et si l’on parlait de la base du festival, la musique ? Aucune déception à ce niveau-là, une belle brochette d’artistes triés sur le volet, qui ont fait plaisir aux douces oreilles des mélomanes venus très nombreux (30 000) pour cette deuxième édition barcelonaise !
Toujours un plaisir d’écouter le live de KiNK, qui nous avait régalé lors de son passage au Showcase, l’année dernière. Âme b2b RØDHÅD nous ont également bien fait plaisir avec des tracks toutes les plus folles les unes des autres, John Talabot et sa prestation toujours aussi enjouée et conviviale, et bien sûr gros coup de cœur pour Robert Hood, Hot Since 82, ou encore Kyle Hall,
See you next time !
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