Retour sur le DGTL Festival
On vous mentirait si l’on vous disait que le DGTL était un festival comme les autres, autre qu’en France. Mais le DGTL, c’est un peu le futur des festivals, le futur des soirées que tout le monde rêverait de faire, et surtout, de vivre. Entre les 6 scènes de musique non stop de 12h à 23h, des lights de tous les côtés, des foodtrucks végétariens et même un petit jardin, retour sur le festival DGTL et ses milles et un trésors.
15h34 (oui on est précis). Ouvert depuis 12h, le festival bat déjà son plein. Devant nous font face des grues, des tours sur lesquelles l’unique mot du week-end (qui sera DGTL) est inscrit, des festivaliers survoltés, des échafaudages pour passer d’un côté à l’autre, en bref, underground jusqu’au bout, dira-t-on.
Mais comment vous raconter un festival quand devant vous, autant d’éléments formeraient presque une autre planète ? Et surtout, quand autant de DJs (tous les plus doués les uns des autres) se succèdent sur 6 immenses scènes ?
Un petit tour du côté des foodtrucks (végétariens bien entendu), histoire de recharger les batteries, et de repartir de meilleur pied. Mais comment voulez-vous ne pas faiblir lorsque les prix de ce festival sont autant élevés qu’un Kinder surprise chez l’épicier du coin ? Et on parle pas que de la bouffe, mais aussi du reste (les whisky-coca à 2E auront eu raison de nous).
Niveau musique, jeux de lumières et mapping, (toujours) rien à redire sur ce spectacle de folie, niveau +++. DGTL oblige, le périple commencera sur la scène Digital, Adriatique aux platines. Une foule en transe, les basses résonnant toujours plus fort (et bien réglées) dans cette salle plutôt sombre, pour une heure quelque peu « précoce ». Recondite (qui est sur tous les fronts en ce moment) nous gratifiera, à son tour, d’un live plutôt bien pensé, comme il a l’habitude de satisfaire son public.
Entre deux artistes, les autres scènes ne seront pas non plus à laisser de côté. ANALOG by XLR8R, AUDIO, STEREO, PHONO, ELLUM, des noms 2.0 pour une programmation 2.0. Et la dernière (petite) scène cachée, celle de Crane Sessions, une pièce dans une grue en mode boiler room et ambiance intimiste (mais pas pour le moins reposante).
Pour couronner le tout, quelques noms français, qui font la réussite de la scène électronique de notre pays. Un peu de house en entrée, de la tech-house en plat de résistance, pour finir sur de la techno en dessert, le DGTL a su mettre à l’honneur tous les grands noms de la scène électronique, jeunes et anciens, qui nous ont fait danser pendant trois jours.
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