La force tranquille de l’urbex
Et si on devenait zen avec l’urbex ? Pratique dangereuse et sportive, les urbexers escaladent, se faufilent, se blessent parfois, et sont toujours aux aguets de peur de se faire surprendre par les gardes.
Loin des tumultes incessants des villes, ces endroits déserts sont tranquilles et apaisants. Le silence règne, les seuls bruits perceptibles sont ceux des semelles foulant le sol et du vent s’engouffrant dans les branchages.
L’anglais James Kerwin s’est plongé dans l’urbex il y a quatre ans lorsqu’il a découvert en images un asile psychiatrique abandonné en Angleterre. Il a depuis mis en lumière la quiétude de châteaux polonais, églises françaises et palaces italiens où ils devaient faire bon vivre.
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1 réflexion au sujet de « L’urbex tranquille de James Kerwin »