Retour sur les plus grosses erreurs de coiffeurs et autres delires capillaires
Brossés, lissés, bouclés, de couleur naturelle, teints, longs ou rasés court les cheveux sont parmi nous depuis l’aube des temps. Toujours présents sur le sommet de notre crâne (même si chez certains ils ne le sont pas), ils font l’objet de plus ou moins d’attention de la part de leurs propriétaires et suivent de façon plus ou moins rapprochée les influences capillaires de la mode.
Je sais que certains d’entre nous n’ont pas les mêmes possibilités de création vis à vis de leur chevelure mais certains l’ont et se font bien (trop ?) plaisir avec ! Mais avant de nous lancer dans nos recherches et de cliquer à tout va sur les pires images que l’on peut trouver sur l’internet mondial, revenons en à nos moutons. Ou nos moumoutes. Là, j’en perds mon latin. Bref, le cheveux donc, depuis le début de notre civilisation apparait comme un accessoire de mode pouvant illustrer l’appartenance à tel ou tel groupe ou classe sociale (BAC ES t’as vu). Ainsi, si tu prends soin de tes cheveux, que tu les brosses, que tu fous du gel dessus, que t’entretiens ton brushing à la perfection en évitant la moindre goutte d’eau pouvant toucher un de tes poils de façon fortuite, tu fais partie de ces gens biens. De ces gens de confiance sur qui il est possible de compter. Mais. Nan il est pas assez fort. MAIS si jamais tes cheveux sont longs, qu’ils ont une couleur douteuse ou qu’ils ne correspondent pas au style de tout le monde, tu es donc une personne bizarre, timide, introvertie et tu suis sans doute une culture alternative. Grosso-modo, tu es marginal et sans doute drogué. Les punks ont les cheveux longs et les jeans troués ? Tu n’as que les cheveux longs ? Et bah, t’es un punk et le NO FUTURE c’est pour toi !
Voila ce que certaines personnes pensent vis à vis de la qualité, du volume ou même de la quintessence du cuir chevelu. Et ouai dans un monde dominé par L’Oréal, Jean-Louis David, Dessange et ces autres coiffeurs issés au rang de star par des publicités plus abrutissantes les unes que les autres. Difficile de suivre son style sans être vu bizarrement par la Société.
Voila pour ce pseudo-laïus simili philosophique sur l’impact de la société sur notre chevelure. Je m’arrête là avant de partir sur dans l’écriture d’un texte pour un énoncé de BAC, on est là pour rire ou tout du moins se fendre la poire en se moquant des bananes et autres délires capillaires qui n’auraient peut être pas dû être dévoilés au grand jour.
Coup de ciseaux !
Je vous laisse là dessus. J’ai her-dévay chez le coupe tif…
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