Watson Atkinson, un O.V.N.I. du tatouage
Tu as forcément entendu parler des tatouages à l’encre blanche : lorsqu’ils ont commencé à devenir populaire, des inconnus en venaient à se menacer de mort sur internet (si si). En gros, le truc, c’était d’un côté des puristes qui dénonçaient des tatouages quasi-invisibles et juste tendances et de l’autre des tatoués qui défendaient leur choix d’encre. La polémique, chez Open Minded, on s’en ba-lan-ce, et à priori, il y a des chances que toi aussi. Alors, on va te présenter un gars qui flotte largement au-dessus des querelles de clocher et c’est Watson Atkinson.
Sur internet, tu peux aussi le trouver sous le nom Watsun Atkinsun (parce que sun c’est le soleil, si t’as suivi en cours d’anglais). Cet artiste américain se définit comme un iconoclaste et son œuvre défie les étiquettes. Il est l’un des pionniers du tatouage blanc, qu’il continue de pratiquer indépendamment des modes.
Ses pièces oscillent entre dentelle de peau et scarification, une autre technique d’art corporel, mais en plus doux. Egalement un artiste complet, il réalise souvent des illustrations de femmes tatouées, qui servent d’inspiration à ses clients. Blanc ou noir, son style est résolument mystique et brut, entre géométrie sacrée et calligraphie occulte, et souvent adoptés par des tatoués audacieux.
Il réinvente le tatouage tribal pour nos contemporains avides de repousser les codes sociaux et artistiques. C’est déconcertant ou rafraîchissant, à toi de décider !
Jen Ripper
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