Rolex, chaines en or et visages botoxés dans le viseur de Dougie Wallace
Dougie Wallace capture sur le vif les ultra-riches
Qui sont les 1% les plus riches de la planète s’est interrogé Dougie Wallace, un photographe anglais adepte du journalisme social. Dans sa pétillante série Harrodsburg, il flashe la richissime élite et l’abondance d’argent dégoulinant dans les rues adjacentes du célèbre magasin de luxe Harrods.



Dans les quartiers de Chelsea et Knightsbridge à Londres, l’espérance de vie des hommes culmine à 84 ans, mais chute à 54 ans dans la banlieue de Glasgow, lieu de naissance de Dougie Wallace. Cet écart sociétal de plus en plus grandissant interpella le photographe qui décida d’exposer la surenchère de la richesse dans l’espace public. Armé de son appareil, il bouscule les conventions et reçoit de vives critiques en photographiant les riches passants par surprise.



S’amusant dans ce théâtre de rue, il décrit son processus photographique « comme un safari. Je peux repérer les liftings, les lèves pompées de l’autre côté de la rue », avant de sauter sur sa proie et immortaliser la profusion de richesse en images .





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