168 millions d’enfants sont encore forcés de travailler au lieu d’aller à l’école
Dans le monde entier, des millions de gamins sont privés de leur enfance. Obligés de travailler, ils n’ont pas accès à une éducation. L’Organisation Internationale du Travail (OIT) a voulu dénoncer cette réalité, et surtout la stopper. Elle a donc lancé, en 2002, la journée mondiale contre le travail des enfants qui a lieu tous les ans le 12 juin.
« Les Etats membres reconnaissent le droit de l’enfant d’être protégé contre l’exploitation économique et de n’être astreint à aucun travail comportant des risques ou susceptible de compromettre son éducation ou de nuire à sa santé ou à son développement physique, mental, spirituel, moral ou social » stipule l’article 32 de la Convention internationale des droits de l’enfant.
En ratifiant cette convention, les États membres se sont engagés à éliminer toutes formes de travail des enfants, mais la réalité est bien différente.
Le travail des enfants est une question essentielle, des droits de l’homme, qui ne devrait plus se poser ! En 2017, tous les enfants devraient avoir accès à une éducation. Malheureusement, ce n’est pas le cas : 168 millions d’enfants sont encore forcés de travailler. Et pire encore. 85 millions sont soumis aux pires formes de travail qui mettent en péril leur bien-être moral, mental et physique. « Heureusement », les chiffres sont en baisses. En 2002, 246 millions d’enfants étaient concernés par ce phénomène.
Mais qui sont ces enfants ?
Souvent issus des pays pauvres, ils n’ont pas accès aux droits fondamentaux comme l’accès à l’eau potable, à la nourriture, à un environnement stable et sécurisé. Ils sont jeunes, sans certificat de naissance ou sans papiers officiels. Aux yeux des autorités, ces enfants sont « invisibles ». Travailler pour eux est une nécessité s’ils veulent survivre !
Mais le travail des enfants existe aussi dans les pays développés : 2,5 millions seraient concernés. Les secteurs touchés sont l’agriculture aux Etats-Unis, les services à la personne en Grande-Bretagne et le textile et le bâtiment en Europe du Sud.
Depuis 2002, l’UNICEF et ses partenaires ont renforcé les systèmes de protection. De nombreuses mesures ont été prises : mise en place de nouvelles lois, réduction de la pauvreté, garantie d’une éducation de qualité…
« Si nous unissons nos efforts, nous pourrons faire en sorte que l’avenir du travail soit un avenir sans travail des enfants » souligne Guy Ryder, Directeur général de l’OIT.
L’organisation se laisse jusqu’à 2030 pour que le programme atteint son objectif, mais au vu des chiffres, ce but sera compliqué à atteindre.
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