Les fumeurs de weed ont du souci à se faire…

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Une molécule anti-weed au nom chelou vient d’être découverte.

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Préserver l’environnement est important. Sans les arbres, sans les fleurs, sans les plantes, que serions-nous ? Bonne question. Et que serait le monde sans Marie-Jeanne ? 

À l’heure où la production et la vente de cannabis sont autorisées dans de nombreux pays ainsi que dans plusieurs états américains, des scientifiques du même continent prouvent que les fumeurs de weed (à l’état brut) développent des capacités intellectuelles 60% supérieures à celles des fumeurs de shit. Beh ouais. Ce bon vieux sharaze… On peine à comprendre l’intérêt que certains peuvent y trouver, si ce n’est le prix et l’accessibilité (ce qui est déjà pas mal).
En plus de stimuler les neurones, la weed serait un excellent complément alimentaire de saison ! Robyn Lawrence prône, en effet, les droits nutritionnels de cette plante tant appréciée qui apporterait protéines, vitamines, zinc, magnésium, et antioxydants.
De la même manière que l’aloe vera, la spiruline, le thé vert et le curcuma, la Marie-Jeanne pourrait être vendue dans les magasins bio ! Mais… honte sur nous d’avoir oublié notre pays de résidence : la France.

Contrairement aux États-Unis, notre république au drapeau bleu-blanc-rouge tend plus à démonter la fumette qu’à l’encourager.
Dernière news en date, la découverte d’une molécule au nom bien effrayant, la AEF117.
Élaborée par une équipe de chercheurs à Bordeaux, cette dernière serait LA solution pour tous ces accros à la weed désirants s’arrêter (ça, on n’est pas vraiment certain). Le directeur de recherche Pier Vincenzo Piazza affirme que lui et son équipe « ont prouvé que cette hormone va se développer dans un endroit spécifique des récepteurs et bloquer la plus grosse partie des effets intoxicants du cannabis ». 
En voilà, une bonne nouvelle tiens !

Pour rappel, le THC est un principe neuroactif et neurostimulant présent en grande quantité dans la weed. Ce dernier provoque, à la longue, une dépendance pouvant poser des petits soucis. Genre, perte de mémoire, démotivation, flemme intense, mauvais délires et perte de la libido (ouais, c’est vraiment moche). Reste à savoir comment chaque personne consomme, à quelle fréquence, et quelle quantité. L’autonomie rentre alors en ligne de compte ;).

Si les tests sur les humains sont concluants, AEF117 devrait être commercialisée d’ici 2020. Bonne nouvelle pour les accros, et mauvaise pour les défenseurs des bienfaits de votre plante verte préférée, la découverte de la molécule est pourtant une lumière d’espoir pour les personnes réellement dépendantes.

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