Manger ou mourir, il faut choisir
Nombreux sont ceux qui quittent le territoire français cet été vers d’autres horizons, car entre nous, ras le *** de ce temps parisien. Et qui dit voyage dit aussi nouvelles expériences culinaires. Mais pour certains plats, il vaut mieux ne jamais y goûter. En France, si l’on connaît les différents champignons, et surtout les mauvais, il est difficile de se renseigner sur les plats étrangers nocifs servis au restaurant.
Les conséquences ? Malaises, nausées, diarrhées … quand ça va parfois jusqu’à la mort dans les heures suivant le repas. On dénombre ainsi pas moins de quelques dizaines de décès chaque année.
Le Fugu
Aussi appelé poisson-globe, le corps de cet animal est rempli de tétrodotoxine. Cette espèce chimique au nom énigmatique s’attaque au système nerveux et cause une paralysie progressive entraînant la mort. Pour lutter contre les accidents (pas des moindres), l’État japonais délivre une licence autorisant à préparer ce plat et à le servir dans un restaurant.
Le Sannakji
Ce plat provenant de Corée du Sud consiste à manger des tentacules de poulpes avec des ventouses encore gigotants. Le problème ? Si elles restent accrochées à votre gorge, vous risquez un peu plus que des simples chatouilles.
Palourdes de sang
Pas la peine d’aller coucher à droite à gauche (hein Camille), ces coquillages, lorsqu’ils sont mal préparés, peuvent transmettre tout un tas de maladies : hépatites A et E, typhoïde et dysenterie… Bon appétit bien sûr !
La grenouille taureau
Made in Namibie, cette spécialité ne donne à priori, pas du tout envie. La tradition indique qu’il faut manger cette grenouille entière, mais certaines parties de l’animal sont dangereuses et peuvent causer une insuffisance rénale.
Le Casu Marzu
Non ce n’est pas le vomi du chien de Gilberte. Ce fromage de chèvre italien est clafi de larves d’un insecte appelé la mouche fromage. Afin de le faire fermenter, on place le fromage à l’air libre et la mouche vient y déposer ses oeufs. Glamour, n’est-ce-pas ?
Le Fesikh
Lors de la fête égyptienne du printemps appelée Shem el-Nessim, on prépare ce plat traditionnel à base de mulets fermentés (pourris pour rester polis). En 1991, 18 personnes sont mortes car elles avaient mal préparé le plat #oops
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