Eduardo Kobra rêve sa vie en couleurs

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Eduardo Kobra

Eduardo Kobra ne lésine pas sur la couleur

Né en 1976, le parcours du brésilien Eduardo Kobra n’est pas sans vagues. Pas fana de l’école, il dessine beaucoup très tôt et passe son temps dans les rues de la banlieue de Sao Paulo. Touché par la culture hip-hop venue tout droit des Etats-Unis, il découvre le graffiti vers l’âge de 15 ans et repeint les murs de sa ville, pour le plus grand bonheur de ses parents – il sera arrêté à de nombreuses reprises mais toujours relâché car mineur, il a bien joué son coup.

Mais il est temps pour Eduardo Kobra de s’assagir. Il travaille dans une banque pendant un certain temps mais, oh surprise, cela ne lui convient absolument pas. Il continue tout de même à approfondir sa culture dans le domaine qui le passionne, en faisant des recherches sur le graff, la peinture et l’art en général.

En 1995, fini la vie de bureau pour Eduardo : il monte son propre studio, le Studio Kobra. Il travaille sur les techniques de graphisme, de peinture, de 3D pour finalement réaliser des fresques gigantesques engagées – il défend notamment la protection de l’environnement, dénonce la surpêche et le réchauffement climatique.

Ses œuvres sont impressionnantes. On lui doit de nombreux portraits de personnages célèbres à travers les villes du monde tels que Nelson Mandela, Albert Einstein, Salvador Dali ou encore Edith Piaf. La patte d’Eduardo Kobra reste tout de même les couleurs qu’il utilise, aux attraits kaléidoscopiques qui donne une image si singulière et saisissante à ce qu’il nous offre.

Pour suivre l’artiste, site officiel et page Facebook sont disponibles.

 

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