On était à La Machine pour Redshape, CW/A et Mark Broom !

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La Machine

Alors, La Machine, ça vous a plu ?

00h – Ouverture des portes de La Machine du Moulin Rouge. Ca fait 1 mois, trois jours et 58 minutes qu’on attend que cette soirée commence, ça fait aussi tout ce temps-là que j’entends parler de Redshape, de Clockwork et Avatism , de Mark Broom, des Djs que je connais pas mais que je meurs terriblement envie de voir – et d’écouter quand même- alors je suis pile à l’heure.

La Machine

Pour chauffer la salle, c’est Sylvain qui est aux platines. Il est 00h02, il a déjà des groupies en face de lui, qui se déhanchent un peu trop vu l’heure et vu le rythme de ses sons, mais il a à peine le temps de profiter de ces jeunes files en fleur prêtes à danser sur son live toute la nuit que La Machine est remplie.

Sylvain est aux anges, Open Minded  – nous, quoi- est aux anges et la foule est en délire, avant même que les grands Djs débarquent.

La Machine

Sylvain laisse sa place à Redshape et La Machine change radicalement d’ambiance. Bien sûr, Redshape porte son masque rouge – sinon ce ne serait pas Redshape, n’est-ce pas ? Il commence son live, c’est brutal, ça envoie plus que du lourd, je suppose que c’est de la techno dans son grand Art puisque je n’y connais rien.

Les gens â coté de moi dansent comme des fous, ils sautent, ils crient… Ils ont l’air hypnotisé par la musique de Redshape. Ca plaît, moi je suis rassurée et j’essaye de sauter en rythme.

Après plus d’une heure et demie de live, Redshape laisse sa place à Clockwork et Avatism, les deux potes à la ville comme à la scène qui viennent d’Italie.

Dès les premières sonorités de leur live, les deux Djs mettent tout le monde d’accord. Ils sont visuellement impressionnant, leur live est percutant, de la techno pure et dure qui prend toute sa force dans les percussions que Francesco maîtrise comme un pro sur la droite de la scène.

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Toute la foule est en transe, je me fais bousculée de tous les côtés et je comprends la force de rassemblement de la techno. Pour le premier live parisien, La Machine est plus qu’au rendez-vous.

Les deux jeunes pousses de la techno laissent ensuite leur place à Mark Broom, le vétéran de la soirée. Redshape est encore là, il est fan de Mark Broom comme des milliers d’autres et il est resté supporter et écouter son pote. Mark Broom en impose, il sait ce qu’il fait derrière ses platines et dans la foule,, c’est l’extase.

Ca fait près de 4 heures que les gens dans la fosse sautent, crient, dansent – ou plutôt bougent leurs corps en rythme sur la musique. Il est impressionnant, sa techno est différente de tout ce qu’on a entendu ce soir et on finit la soirée plein d’énergie, à son image, tellement qu’on voudrait que tout le monde revienne sur scène pour nous ambiancer encore.

La Machine

Pourtant, il est temps d’y aller. Je n’aurais jamais entendu autant de techno de ma vie, je ne suis toujours pas convertie mais je dois admettre que c’était une soirée incroyable- et pas seulement parce que c’est mes collègues qui l’ont organisé, bien sûr.

 

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