Calvaire du stagiaire épisode 2 : go fuck yourself !

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Jamais en retard tu ne dois être, sinon longue journée de merde tu auras.

Il y a des jours comme ça où l’on se sent inspiré. Pas payé mais inspiré quand même. Chez Open Minded on sait que tu sais ce que ça fait car toi aussi tu fais partie de la grande famille des stagiaires. Pendant la pénible période estivale, on pense très fort à toi et on te cacedédi ces tribulations. Malgré ce statut plus que précaire, le stagiaire est utile à la boite sauf que lui, il est interchangeable. T’as peur ? Ohh mais faut pas petit padawan, regardes…

Enfin le GRAND jour ! Pour ne pas donner trop mauvaise impression tu tentes vainement de te lever au premier coup de réveil. Peine perdue. Ton lit te réclame, tu ne peux lutter petit scarabée. Ta mère vient te tirer de ce mauvais pas et te ramener du bon côté de la force. Et là tu n’as plus le choix : tu cours. Ton boss ne se souviendra de toi qu’essoufflé comme un bœuf, trempé et aussi odorant qu’un wookiee (il parait que ça sent très fort). Première impression : it sucks ! Et ce n’est que le début car après ton arrivée tonitruante sur la dernière base, c’est ton quart d’heure présentations.

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Quand il y a certaines tensions entre mon maitre de stage et moi même.

Premier contact avec ton maitre de stage qui n’en sera pas vraiment un. Non, vu qu’il s’en fout. « Padawan, je suis ton responsable de stage », en tout cas c’est comme ça que tu l’entends tellement sa voix ressemble au bruit de la soufflerie d’un masque purificateur d’air. Tu as trouvé ta force du mal, ton Némésis qui ne voit en toi un simple Stormtrooper  alors que tu te prends déjà pour un élu (en CDD ?).

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Là, on te promène un peu partout dans la boite (on part sur la base qu’il ne s’agit pas d’un grenier avec des sous-pentes) tel un chien à qui on aurait appris à donner la papate. Beaucoup de têtes, beaucoup de grades = beaucoup de stagiaires. Tu vas pouvoir te consoler en te disant que tu ne seras pas le seul à pleurer cet été (seulement le premier). Tu repères le grand patron, lui trouve une vague ressemblance avec Palpatine. Ton imagination s’emballe. A la cafèt’ (si tenté qu’il y en ait une) tu repères de loin la princesse Leia version Star Wars 7 qui se croit sur adopteunstagiaire.com. Histoire d’en faire sa chose. C’est à la fois moche et intrigant.

Dès que ton maitre de stage ; d’ores et déjà saoulé de se taper la formation (qui durera à tout casser 10 min) d’un énième glandu ; te parle, tu ne piges absolument rien et ton cerveau façon Yoda te la joue. « Au référencement tu dois penser. Les stats en grand danger ce week-end seront sinon. Les graffistes tes meilleurs amis deviendront si Photoshop toujours tu ne maitrises pas ». En cet instant, dans ta tête tu ne peux t’empêcher de lâcher un long et tonitruant : « Eeeeettttt meeeeeeeeerrrrrrddddddeeee » tout en dodelinant du crâne d’un air approbateur. Mais il y a pire, il y a des règles. « En retard jamais tu ne dois être. Deux heures après ton maitre partir tu peux (soit tard très) et rapide dans ton entrainement tu dois être ».

Mais le jeune Jedi que tu es n’est pas au bout de ses surprises. Tu te rends compte en voyant ta convention enfin signée, que le flouze, ben il n’y en a pas, niet, nada, que dalle. Tu ouvres la bouche pour exprimer ton incompréhension et tu la referme aussi sec dès que tu vois ton voisin de niche secouer énergiquement la tête. Cela ne peut signifier qu’une chose : « s’il-te-plait aurais-tu l’obligeance de ne pas aborder ce sujet ? Cette question nécessite moult réflexions » ou ça peut aussi vouloir dire « Ta gueule », tout simplement.

Bref c’était ton premier jour de stage.

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Crédit Yatuu

 

8 réflexions au sujet de “Calvaire du stagiaire épisode 2 : go fuck yourself !”

  1. Vraiment naze. mal écrit et sans humour. (et merde un effort sur les images. En 2014 on essaye de limiter la pixélisation). A moins que tu sois stagiaire chez opnminded en fait…

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    • Toi qui parle d’écriture, la ponctuation, ça existe aussi. Genre deux points à la suite, des parenthèses n’importe où, et les majuscules on s’en carre. Commenter non plus, ça n’est pas fait pour les bigleux.

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        • J’ai rien dit sur les corrections perso! C’est Jean-Michel « copain du journaliste » qui s’excite tout seul. De plus « dieu est mort » niveau ponctuation t’es tout autant une brêle que moi mais cela ne change toujours rien à la qualité de l’article. bisous Xoxox

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          • Hé oh, l’abruti congénital, si tu cherches du journalisme, va sur le site du Monde, de Mediapart, du Figaro. Pas dans un blog.

          • Putain les gars je pensais pas autant vous froisser avec ce commentaire. C’est un avis subjectif c’est tout. Vous étiez combien à l’écrire cet article? Après si vous trouvez ça drôle c’est cool pour vous, mais pour moi ça reste de la merde. 🙂

        • Chacun son truc, certains sont assez crétins pour ouvrir les guillemets sans prendre la peine de les fermer ensuite. Puisque l’on veut jouer à l’orthographe, on se tait, et on apprend, les débiles.

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