Christian Hopkins, le digne héritier de Guillermo Del Toro.
C’est bon, le printemps est officiellement arrivé, le soleil et les sourires sont de retour. Et ce bon temps que l’on attendait (moi surtout), annonce également le grand nettoyage de Printemps. Et par grand nettoyage, j’entends aussi suicide de Printemps. Oui, il faut savoir mourir de temps en temps. Mais s’il vous plaît, chers dépressifs, ne prenez pas le métro. Je sais que certains ont le goût du spectacle, mais on galère déjà assez avec la pollution, la circulation alternée et les chansons de Francis Lalanne. Donc merci d’éviter les jolis rails de notre RATP bien-aimée (merci de votre compréhension).
Justement en parlant de dépression, je vous présente un artiste qui y connaît un rayon en la matière, j’ai nommé Christian Hopkins. L’art effectivement n’est pas seulement une expression créative, mais aussi une décharge émotionnelle. Christian Hopkins lui ne le sait que trop bien, car il a utilisé la photographie notamment comme remède à sa dépression on ne peut plus sévère.
C’est à 21 ans qu’il embrasse la photographie surréaliste comme exutoire, la création artistique devenant peu à peu pour lui une véritable thérapie. Souffrant depuis près de 4 ans d’une profonde dépression, son art révèle une vulnérabilité, une douleur à laquelle n’importe qui peut se rapporter, comme miroir de son propre mal-être. La solitude, la léthargie, une bataille mentale avec soi-même, voilà ce que l’on peut observer dans les réalisations de cet artiste à la sensibilité étonnante.
Bien que ses photographies donnent l’impression d’un travail de professionnel, il n’en est rien, l’artiste n’ayant jamais pris de cours de photographie. Il aborde cet art comme un passe temps, un moyen d’expression. Un passe temps qui lui permet de se sentir mieux mais ne qui ne l’a pas guéri pour autant, car Hopkins a tenté de se suicider. En effet, après avoir découvert cette passion pour la photo, il semblerait qu’il se soit senti comme dans un trou noir. Enfin, remercions l’ami d’Hopkins qui est à l’origine de la mise en ligne de ces oeuvres, car l’artiste voulait les supprimer.
Le photographe est toujours aux prises avec ses démons, en espérant qu’il s’en sorte, car il faut admettre que son talent est maladivement addictif.
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