Perdu dans le Pacifique, il élevait des tortues dans son radeau depuis 2012
Au chômage, poursuivi par ses créanciers, il avait convaincu un ami d’ouvrir un pensionnat pour tortues dans une barque. Parti du Mexique depuis septembre 2012 à bord d’un esquif de 7 mètres, José Ivan a parcouru le Pacifique en long, en large et en travers sur plus de 12 000 km. Il s’est échoué vendredi sur les Îles Marshall. Miracle ou malédiction ? Les habitants s’inquiètent, et les groupes de défense des animaux veulent agir. Retour sur un évènement qui fait des vagues.
C’est une idée folle qui avait pris la pensée (si toutefois il est possible de « prendre une pensée » au sens propre, mais bon, comme je viens de le dire, on va partir du principe que ma phrase est parfaitement construite) de José Ivan. Au chômage, ruiné, plutôt que de se présenter une énième fois à l’équivalent du Pôle Emploi au Mexique, il est parti en septembre 2012 pour une « Grande Traversée » sur une barque à moteur de 7 mètres, avec son ami, et ses tortues. Il aurait parcouru le Pacifique pendant 16 mois avant de s’échouer en fin de semaine dernière sur l’atoll Ebon. Faible, il n’a pas pu répondre aux questions des enquêteurs locaux, qui soupçonnent que l’homme, pour s’assurer la survie, se soit servi de son ami ou de son corps (ce qui revient un peu au même, il est vrai) pour nourrir son groupe de tortues (dont certaines ont été pêchées en mer pour agrandir la tribu).
On pense que l’homme, pour s’assurer la survie, s’est servi de son ami ou de son corps, ce qui revient un peu au même il est vrai, pour nourrir son groupe de tortues dont certaines ont été pêchées en mer pour agrandir la tribu.
Merci, mais je viens de le dire. Enfin bref, toujours est-il que l’homme est très faible. Abreuvé intensément d’eau, sa pression artérielle est encore basse, mais il peut marcher. « C’est un cas incroyable, une survie miraculeuse », selon les habitants de l’atoll. Seulement, après plusieurs centaines de jours passée à boire du sang des tortues qu’il n’a pas pu convenablement élever, et qui auraient dû faire son principal business, on a noté, parmi les médecins qui s’occupent de son cas, « un rejet naturel à la consommation d’eau, et de fruit. L’homme a l’air de s’être habitué au régime animal. »
Contactés par nos soins (oui, on est super soigneux), PETA et la fondation « 30 millions d’amis » ont fait savoir qu’ils cherchaient un moyen d’intervenir juridiquement pour punir José d’avoir été contraint de manger son élevage entier de tortues protégées pour survivre. « S’il a donné son ami à manger à ses tortues, pourquoi n’a-t-il pas fait la même chose avec lui-même ? » a déclaré Reha Hutin lors d’une conférence de presse ce week-end.
S’il a donné son ami à manger à ses tortues, pourquoi n’a-t-il pas fait la même chose avec lui-même ? Reha Hutin, présidente de la fondation « 30 millions d’amis »
Mais, outre les considérations juridiques, il y’aurait bien pire. Certaines rumeurs récoltées précieusement nous ont fait état d’yeux rouges et d’une réelle fascination pour les poches de sang qui lui redonnaient de la force. Les quelques habitants du récif d’Ebon ne tarissent pas d’inquiétudes leurs commentaires sur le sujet. N’ayant pas accès à Internet ils bénéficient seulement d’un sémaphore pour communiquer avec le monde (la construction d’une piste d’atterissage pour deltaplane est envisagée par le parti démocrate au pouvoir, mais les conservateurs, dénonçant un projet « contre-nature », s’y opposent) : il n’y a rien pour rapatrier l’individu dans son pays d’origine.
L’albatros-voyageur que nous avons dû utiliser pour leur poser les questions nécessaire n’est pas encore revenu avec une réponse, depuis vendredi et l’annonce de la découverte inquiétante de cet homme. Le chômage et l’élevage de tortues en pleine mer peuvent-ils changer notre nature profonde ?
Les questions pleuvent, les réponses sont en rupture de stock. Mais nous vous tiendrons informés en temps et en heure de cette histoire, qui peut changer le destin de l’Humanité.
Pour en savoir plus, l’article détaillé ICI
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