Dour Festival day #1

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Gueule de Schlag & transpiration : report day #1 @ Dour Festival !

26ème festival, 3ème pour nous et pas des moindre. Après la pluie couplée à la boue, la chaleur est l’élément principal autour duquel tourne le festival – on n’en oubliera pas la musique pour autant. La transpiration, notre compagne fidèle et tenace de ces premiers jours de festival blesse notre égo : la tête rougie par les premiers coups de soleil, le visage suant et suintant, c’est pas aujourd’hui qu’on va pécho ! Evidemment, notre but premier étant la musique, on évite de trop se plaindre et on apprécie à sa juste valeur ce festival éclectique, qui nous plonge dans un microcosme musical le temps de quelques jours.

Pour que tu puisses profiter toi aussi de ces 4 jours épiques qui font de Dour le meilleur festival d’Europe, on t’offre un petit aperçu de ce que l’on y fait, de qui on écoute et de se qu’il y passe. Loin de nous l’idée de vous faire un report tiré à quatre épingle, on vit Dour et le report sera dans cette optique.

Passons les détails de l’arrivée mouvementée jusqu’au au doux lieux qui te sert de maison pendant 5 jours j’ai nommé le camping D. On passe les détails mais on a quand même subit une journée plutôt mouvementée, on a seulement pu profiter du sons à partir de 23h après un petit apéro mérité. Direction le site du festoch’ où une foule en ébullition tente de parvenir aux scènes.

Plutôt qu’un report long et chiant à lire, on a décidé de vous repartir ça en sorte de « rubrique » qui vous décrirons ce qu’on a ressenti au cours de ses soirées/journées à base de transpi et de litrons de bières.

*La pire douille

La prog de Dour est toujours un plaisir de dingue, que tu te prends à lire et à relire sans arrêt, parce qu’elle est belle !! Pour ce premier jour, notre listing de concerts à ne pas rater était bien préparé et parmi eux on pouvait retrouver Jeff Mills. Remontés à bloc après le show incroyable et dynamique de Mr. Mac Miller – quel petit con – on se dirige vers la Cannibale Stage pour voir un des pilier de la Techno. Tout se passe à merveille, on a du décoller du sol tellement la chaleur et le son nous ont mis dans un état second (oui oui, pas de drogue dans nos contrées). 26 minutes sera pourtant la durée totale du set du renoi aux platines. L’histoire raconte qu’un petit con aurait balancé sa bière et que l’artiste alors en train de jouer n’aurait pas apprécié et se serait donc … barré. Tout simplement barré de la scène, trop vénère ! Bien joué.

jeff mills

 

*La meilleure ambiance

8h du mat, enfin de retour au campement avec tous les potos encore les yeux qui font des zig zag. Enfin de la fraîcheur, enfin la douceur du matin ! Plus besoin de musique maintenant, nous nous suffisons à nous-même.

Deuxième meilleure ambiance, Mac Miller once again. Le gars n’est pas un débarqué, on le savait déjà, mais ce concert nous l’a confirmé. Droite gauche droite gauche, tu ne sais plus vraiment où il est tant son énergie le pousse dans tous les sens. « Go clap your hands », on le fera plus d’une fois pour lui !

mac-miller

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Le pire tapage musical

Chris Liebing, C’était un peu le sauveur de la scène Cannibale, il a remplacé au pied levé notre cher ami Jeff Mills – parti trop tôt – et nous a encore servi du lourd, du très lourd. Une techno ravageuse, qui te dézingue les tympans. Les basses pleines balles, c’est sur ce son bien vénère et brut de décoffrage que les festivaliers se sont déchaînés sans relâche jusqu’au petit matin. Pas son meilleur set mais une sessions ultra maîtrisée et qui a su nous donner ce dont on avait envie à ce moment précis : du LOURD, du tapage musicale qui résonne dans le crâne.

chris-liebing

L’histoire drôle

On a tous connu ce moment où, la soif étant très grande, on se précipite sur la première bouteille d’eau en vue. Erreur fatale : il s’agit en fait de vodka ou autre alcool fort, qui détruit en puissance votre trachée déjà bien abîmée par le nombre de clopes fumées en quelques heures. Bref, tout ce blabla pour vous dire qu’aujourd’hui dans la queue pour remplir ses bouteilles d’eau (oui, ça aussi c’est une expérience Douresque immanquable) – et qui sert accessoirement de douche pour ceux qui n’ont pas la foi d’effectuer les presque une heure et demi d’attente pour accéder aux douches – une meuf s’est versé du rhum sur la tête au lieu d’eau… Oui, c’est aussi ça Dour : un condensé de schlags sympathiques et parfois complètement à l’ouest.

La suite demain …

 

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