Un survival qui ne fait aucun cadeau
Envie de pousser l’adrénaline plus loin que les hordes d’Infectés de Resident Evil ? CrisisX, développé par HK Hero Entertainment Co., promet une expérience post-apocalyptique où chaque journée est un affrontement contre les Infectés, les survivants… et la nature elle-même. Le synopsis officiel l’annonce clairement : « Survivez… combattez ou coopérez… établissez votre territoire. » Ici, tout s’arrache, tout se mérite, tout se protège. 🔥
Une carte gigantesque à maîtriser




L’un des premiers chocs : une carte en monde ouvert de 1 200 km². Oui, 1 200. Ce terrain colossal regroupe plus de 5 000 joueurs sur un serveur unique réparti en 12 terrains distincts. Vous y croiserez des villes western, des laboratoires cachés, des sommets enneigés et des rivières tumultueuses.
Chaque biome impose des contraintes météo et de température : rester trop longtemps détrempé ou gelé, c’est risquer l’hypothermie ; partir trop léger dans le désert, c’est frôler la déshydratation. 🌧️❄️🌪️
CrisisX : un système de survie profondément systémique
Oubliez les barres de faim génériques : CrisisX pousse la simulation bien plus loin. Trop manger ? Vous prenez du poids, vos déplacements ralentissent et vos consommations d’endurance augmentent. Trop peu ? C’est la mort qui guette.
À l’inverse, travailler le bois, faire de la mine, cultiver, combattre ou même courir développe votre masse musculaire, offrant des avantages concrets lors des affrontements ou du transport de matériaux. L’écosystème répond à vos actions : chasser modifie la faune locale, défricher change la couverture végétale, bâtir attire… ou provoque. 🪓🥩
Le cœur du jeu, c’est bâtir votre monde post-apocalyptique. Entre bases modulaires, fortifications, pièges, ateliers et parcelles agricoles, chaque plan compte. Vous pouvez coopérer pour ériger des colonies sécurisées, ou au contraire défier les autres groupes pour contrôler les points stratégiques : sources d’eau, axes routiers, sites scientifiques.
Les raids exigent une logistique (munitions, soins, météo) et une lecture du terrain : progression silencieuse dans la forêt, diversion près d’une rivière, assaut éclair par les ruines.
Entre tension horreur et crafting méthodique
Le mélange Resident Evil × Valheim ne se limite pas au slogan. Les rencontres nocturnes avec les Infectés imposent une gestion du bruit et de la lumière ; la journée, l’emporte-pièce, c’est le craft : récolter, affiner, assembler.
Les armes improvisées côtoient des équipements évolutifs, mais sans une alimentation et un sommeil gérés intelligemment, vos statistiques s’effondrent. L’ennemi n’est pas seulement humain ou infecté : c’est aussi l’environnement, qui use, égratigne, affaiblit… jusqu’à la faute. 😬
CrisisX est attendu pour 2026. D’ici là, gardez un œil sur les annonces et ajoutez-le à votre liste de souhaits sur Steam pour suivre les mises à jour et tests à venir.

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