Focus sur une monstruosité inhumaine et dégoûtante (-18 ans)
Cette histoire fait froid dans le dos, elle donne même envie de vomir… Le 11 juin 1981, Issei Sagawa, étudiant à Paris, dévore littéralement le corps d’une étudiante néerlandaise de la Sorbonne (Paris). En 1983, il a été extradé au Japon, où il vit librement. Avec les séquelles d’un AVC, il habite désormais avec son frère, Jun, qui s’occupe de lui. Verena Paravel et Lucien Castaing-Taylor, cinéastes et anthropologues, lui ont rendu visite à Tokyo.
En lui donnant la parole 37 ans après les faits, le film « Caniba » est le fruit de cet rencontre courageuse et unique. Même s’il ne donne pas envie de manger les êtres humains qui nous entourent, le documentaire sur Issei Sagawa a été interdit au moins de 18 ans en France parce qu’il peut choquer considérablement. Le cannibale japonais n’a aucune honte à exprimer « son désir intarissable de manger de la chair humaine, encore aujourd’hui ». Oui, il est toujours en liberté…
En image, tu verras de très gros plans sur la bouche du tueur qui raconte son festin. Contempler sa bouche répugnante entrain d’évoquer ses appétits coupe littéralement celui du spectateur. Le pire dans tout ça, c’est que Issei Sagawa est content de raconter son exploit. En plus d’avoir été mis en liberté deux années après son crime, il a gagné sa vie en dessinant des mangas sur son crime, en tournant des films de pornos et en devenant critique culinaire.
Mais Issei n’est pas le seul de la famille à être perturbé, son frère Jun (un peu plus discret) se scarifie à coups d’objets coupants en faisant subir à son bras droit les pires coupures et brûlures. Il affirme que son bras est son « organe sexuel« . Tout comme son frère, il prend un plaisir fou à exhiber son penchant, en s’infligeant cette douleur devant une caméra.
Les cinéastes mettent en avant Issei Sagawa physiquement, comme si sa monstruosité sortait de sa peau, en même temps que son humanité. Le but du film est de suspendre tout jugement pour ne s’en tenir qu’à l’expérience sensorielle, où le dégoût n’exclut pas l’empathie.
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Par NBD.
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