La nouvelle exposition à la Cité de la Mode et du Design t’envoies du rêve

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Le rendez-vous des artistes à la Cité de la Mode pour une nouvelle exposition

En cette rentrée 2016, le Quai de la Cité de la Mode et du Design fait peau neuve grâce au partenariat entre la société de gestion événementielle ID8B et la direction artistique de Fire n’ Brimstone. L’exposition intitulée WALL ON FIRE est une aventure colorée s’étendant sur plus d’une centaine de mètres.
Cette création s’est développée – non sans humour suite aux inondations du printemps dernier – autour du thème de l’eau. Cette gigantesque fresque regroupe huit artistes Parisiens, Lyonnais, Bordelais et Londonien. Avec le souhait de conserver leurs univers respectifs, les mètres linéaires du mur ont été divisés en différents « tableaux ». Les œuvres sont reliées entre elles par un écrit poétique, sorte de cadavre exquis fait au fur et à mesure que le mur arbore ses nouvelles couleurs.
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À partir du 8 septembre 2016, à l’occasion de la réhabilitation de son Quai, la Cité ravit les passionnés d’art urbain qui
auront l’occasion de découvrir l’exposition Wall On Fire. Réalisée en partenariat avec le collectif Fire n’ Brimstone et
Alexandre de Laporte/ID8B, Wall on Fire met huit street artistes au défi d’interpréter le thème de l’eau, leur donnant l’opportunité d’investir 120 mètres de mur du Quai. L’on pourra ainsi s’émerveiller d’une multitude d’approches aussi  singulières que surprenantes.
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Parmi les huit graffeurs, sept artistes de grandes villes Françaises et le londonien Fanakapan. Certains figures du milieu titilleront d’emblée l’œil des aficionados, quand d’autres artistes, plus discrets, auront l’opportunité de faire connaître des œuvres au rendu impressionnant. De l’univers d’éclats et de nébuleuses de SPÉ aux lettrages ballons de l’anglais Fanakapan ; du concentré de graffiti « old school » et de culture urbaine revendiqués par Kalouf en passant par la pure technique réinventée de Dams-Odv ;
Graffitis sur les murs de Paris
la fine fleur de l’art de rue s’expose et en impose. La nouvelle scène bordelaise apporte sa pierre à l’édifice, grâce aux interprétations hyperréalistes et graphiques des Frères Coulures, en parfaite opposition à l’univers évanescent et psychédélique de Saïr. La scène féminine n’est pas en reste : Kashink partage une fois encore son regard précieux et habité sur les cultures du monde quand Vinie confirme sa réputation « d’acharnée de la bombe » pour le plus grand plaisir des visiteurs.
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