Luke Spencer vous emmène dans les ruines du domaine de Pablo Escobar
Pablo n’aurait pas aimé qu’on le réduise à son palace en ruines. Pour lui rendre l’hommage qu’il mérite, asseyez vous donc, et re-vivons ensemble son passé.
Nous sommes dans les années 1975, être baron de la drogue n’est pas de tout repos, il faut neutraliser les autorités (en les achetant ou en les tuant), gérer les producteurs, les expéditeurs et continuer à régner en maître. Se faire respecter est un travail de tout instant : cela passe par la tenue, l’autorité, le caractère, les choix mais aussi, la demeure.
En collaboration avec les criminels du Medellin Cartel, son réseau d’exportation s’étend de l’Europe à l’Asie et il contrôle 80% de la cocaïne expédiée aux Etats Unis.
L’argent coule à flot, le champagne aussi. Les soirées sont arrosées, l’ambiance est au beau fixe. El diablo est populaire, reconnu, et même classé en 1989 au 7ème rang des plus grandes fortunes du globe.
Il est aussi salué pour ces dons locaux, ses projets de charité, son équipe de foot, même si on le sait aussi impitoyable, nerveux et assez cruel (il ne faut pas lui chercher des noises).
A la fin de ses longues journées, El patron aimait se reposer dans son palace, siroter un cocktail près de la piscine en écoutant un peu de musique colombienne avant de retourner se coucher dans l’une de ses 300 chambres.
A l’image de Scarface, le King Escobar avait compris l’importance du lieu d’habitation. Il devait être flamboyant, mais bien caché! Peu de personnes ont eu la chance d’y passer mais aujourd’hui, en 2015, c’est possible grâce à Internet et à Luke Spencer.
Il va vous falloir un peu d’imagination pour contempler son palace mais les ruines témoignent de la beauté de ce que devait être la demeure de Pablo Escobar, située au milieu des Caraïbes, à une heure de bateau de Carthagène des Indes, ville portuaire de Colombie.
Cachée par la forêt tropicale, Luke Spencer vous fait entrer dans le paradis en ruine du baron de la drogue.
N’oubliez pas qu’ il y a 20 ans, El Patron y était encore !
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