myNYPD : Servir, protéger et tabasser
#myNYPD : Un amour pour la population matraqué sur twitter
Que tu sois né avec ton mac sur les genoux ou que, pour toi, tablette rime encore avec chocolat, tu ne peux nier la qualité de l’ultra-connectivité quant à la profusion de l’information. Sonneries, vibrations et pépiements sont autant de nouveaux bruits qui te préviennent que sur la planète web, ça balance, ça se bouscule, et ça tourne plus vite que dans une cour de lycée. Ne reste pas sur ton canapé les bras croisés à te lamenter de ne pas être informé du dernier kilo de je-sais-même-pas-qui, ou du clash twittos sur l’efficacité d’une quenelle; on s’en charge pour que tu restes à la page. Le web en deviendrait presque plus ouvert que ton esprit.
Dernièrement une campagne fait fureur sur la toile et plus particulièrement sur twitter. En effet, le réseau social du piaf bleu, est le théâtre d’un déluge d’amour et de ferveur de la part de la population new yorkaise envers sa police bien aimé. La police de new york voulant se faire un petit coup de pub a décidé de créer le buzz en lançant mardi 22 avril ça désormais célèbre campagne de communication appelé : « Est ce que tu as une photo avec un membre de la police new yorkaise (NYPD) ? tweet nous et tag le #myNYPD. »
La réaction des new yorkais ne s’est pas fait attendre, et comme un seul homme ils ont tous envoyé des photos d’eux ou d’autres dans des situations où règne la caresse de la matraque, les câlins suffoquant et le baiser du poing sur le crâne. Cette campagne de communication s’est donc bel et bien retournée sur son instigateur de la plus belle des manières, un cas d’école en direct de twitter. Ce qui est sur c’est que la NYPD ne laisse pas indiffèrent (surtout son twetter myNYPD) et qu’il est clair que New York se sent protégé et aimé mais de façon brutale.
Toi aussi participes et envoie leur ta photo en taggant #myNYPD.
Service de réveille:

Un homme fatigué, on le porte:

Elle s’est endormie, ils sont là:

le jeu du je roule, vous criez:

un petit massage ?

Encore une qui est fatigué, heureusement la police est là:

Enemie public numéro un:

coiffure gratuite:

Un petit Chat-bite poussé:

Pour l’amour de la matraque:

Petite berceuse:
