Foodgasm à la clé
Si toi aussi tu aimes son moelleux, si tu aimes plonger ton doigt dedans et attendre qu’il se reforme, si tu as envie de t’en servir comme oreiller mais que, quand même, tu finis par l’enfourner goulûment dans ta bouche, alors tu seras content d’en apprendre plus sur le sponge cake. En France, on le compare à une pauvre génoise. Ayant connu de multiples influences à travers le monde, les sponges cakes asiatiques reviennent en force sous différentes formes, toutes plus attendrissantes les unes que les autres.
Si on dit qu’il est inventé en Angleterre par une des suivantes de la Reine Victoria (qui avait une petite dalle à l’heure du thé), on s’arrache le moelleux cosmique de ce gâteau partout dans le monde. Aujourd’hui, il est devenu incontournable au Japon, en Chine et même en Corée. Ses origines restent tout de même un peu floues. En premier lieu, on pense au gâteau Castella, nommé ainsi en référence à la monarchie castillane espagnole, ramené sur le continent japonais au 16ème siècle par des marchands portugais (appelé kasutera au Japon). En terme d’inspiration, on peut aussi penser au Chiffon cake, venue des USA, plus humide et spongieux, devenu un incontournable au Japon depuis les années 70’s.
Côté chinois, le gâteau malai ressemble à un cousin plus gonflé et aéré. La petite nouveauté c’est que les coréens s’en emparent pour aller toujours plus loin dans le moelleux, le gluant et l’appétissant. Les boutiques de pâtisserie de Séoul, comme Bansuk Castella, s’y mettent dans une farandole de parfum : matcha, chocolat noir, creamcheese, vanille.
Les sponges cakes, à la recette de base hyper simple, peuvent très bien être fourrés à la crème ou à la confiture. C’est le genre de douceur qui donne très envie de lui faire des papouilles en tant que brique nuageuse. Reste à tester son utilité absorbante. Mais bon on ne joue pas avec la nourriture, m’a dit ma mère, et se serait dommage de ne pas s’empiffrer.

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