Dotwork et géométrie pour le tatoueur Kenji Alucky
Kenji Alucky réinvente le tatouage
Focus sur l’art du tatouage dans tous ses états.
Une vielle photo polaroid qui traine dans votre grenier depuis 10 ans, une tache d’encre sur un mur votre danse de la victoire, votre poubelle ou votre dressing, l’art est partout, tout le temps, et vous n’en avez parfois même pas conscience. Mais si vous n’avez jamais réussi à tirer parti de tout ce potentiel – et Dieu sait qu’il est impressionnant – d’autres y arrivent, et même très bien. Vous ne les connaissez pas ou vous en avez vaguement entendu parler, dans les deux cas, Open Minded est là pour que vous restiez à la page, et que vous deveniez l’expert en art que tout le monde s’arrache. Aujourd’hui, on se penche sur le tatoueur japonais Kenji Alucky.
Né à Hokkaido, Kenji Alucky s’installe rapidement au salon « Black Ink Power » à Berlin. Véritable globetrotteur, Kenji Alucky a déjà (presque) fait le tour du monde : New York, Chicago, Osaka, Tokyo, Katmandou, et même en France, l’année dernière.
Il travaille seulement à l’encre noire, et est passé maître dans l’art du dotwork. Largement inspiré par l’art primitif, ce tatoueur crée son style géométrique utilisant presque toujours l’illusion d’optique. Des effets visuels époustouflants mais surtout riches en détails. Il utilise également l’art fractal (dans la plupart de ses travaux), mais réalise aussi parfois des tatouages tribaux.
Kenji Alucky a non seulement la particularité de mêler différents styles d’art en matière de tatouage, mais également de réaliser des formes allant du minimalisme (une ligne parfaitement droite par exemple) à des pièces en 3D, qui englobent le corps de ses clients.






