On ne sent pas le cul, quoique.
On ne sent pas le cul. En lisant cette phrase, vous vous demandez certainement quel est le thème du Google moi ça de cette semaine. On ne sent pas le cul, c’est tout. Vous ne comprenez certainement toujours pas, et moi non plus à vrai dire.
Dans la vie il y a des choses qu’on ne peut pas faire, sentir des fesses en fait partit. Du moins, il est préférable de ne pas le faire en public, vous risqueriez une bonne gifle dans votre face. Partons du principe que sentir des culs serait considéré comme une acte « normal » dans notre société : je me promène tranquillement dans la rue, soudain un homme (ou une femme, essayons de ne pas se cantonner aux clichés) me renifle l’arrière train. Nan, c’est décidément trop chelou pour que je puisse concevoir cette idée. En y réfléchissant bien, sentir une raie dorée, c’est franchement dégeulasse, je vous épargne les détails.
En revanche, notons quelques exceptions dans notre monde civilisé (ou pas d’ailleurs) : les chiens sentent les culs, les rugbymen sentent le cul. Et parfois, certains en ont tellement marre de subir cette agression qu’ils distribuent des baffes à tout va, parce qu’on ne sent pas le cul ! Ni le boule de la vendeuse, pas celui du boucher, et encore moins celui de ton père.
Alors si l’envie vous prenez de sentir des booty dans la rue, prenez garde. Le cul c’est sacré. Surtout celui de votre mère.
Amateur de reniflage de fesses, regardez ce qu’il pourrait vous arriver :
Et parce que c’est fin, c’est très, ça se mange sans faim :
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