Enquête de Vice : Bouzkachi et autres paris illégaux à Kaboul
La correspondante de VICE Gelareh Kiazand est allée enquêter sur les parieurs clandestins à Kaboul, qui misent sur les combats de chiens, de cailles et les matchs de bouzkachi (c’est comme du polo, mais avec une chèvre décapitée à la place du ballon). Mais d’abord, elle doit rencontrer Dardar, le seul à pouvoir donner accès aux cercles de parieurs à notre équipe.
Un peu plus sur le Bouzkachi :
Le terme bouzkachi est un mot persan composé des mots boz (بز, chèvre) et kachi (کشی, en tirant, apportant vers soi). À l’origine, il était pratiqué lors des festivités de mariage turkmène puis s’est répandu dans toute l’Asie centrale. Il est probable que les peuples turcs (notamment en Anatolie jusqu’au xixe siècle) le pratiquaient depuis longtemps. Dans le nord de l’Afghanistan, le bouzkachi fait partie des traditions les plus profondes du pays. Si plusieurs peuples le pratiquent, les Ouzbeks en sont considérés comme les champions.
Le bouzkachi peut regrouper des centaines de joueurs, généralement répartis en équipes de 10 joueurs. Une carcasse décapitée, traditionnellement celle d’une chèvre (mais ce peut aussi être un mouton ou un veau), est lancée sur le sol au milieu du cercle des cavaliers. Dans le passé, le cadavre d’un ennemi tué au combat pouvait également être utilisé. Au signal, les cavaliers se ruent vers la carcasse et tentent de la ramasser, tâche qui à elle seule nécessite une grande force. Pour compter un but, le cavalier muni de la carcasse devait, à l’origine, galoper vers un but souvent à plus de deux kilomètres au travers des adversaires armés de fouets, puis rapporter la carcasse au point de départ. De nos jours, il faut plus simplement atteindre une zone déterminée. Les chevaux employés pour ce jeu subissent un entraînement spécial et coûtent très cher.
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