Les goûts et désirs sexuels so British détaillés dans une infographie basée sur l’achat d’un million de sextoys.
On ne va pas vous mettre dans la tête la sempiternelle chanson de Pierre Perret. Non, vous ne saurez pas tout sur le sextoy mais vous en apprendrez de bonnes sur nos compagnons à pile, manuels, en plastique, en silicone, solides, liquides, pour la révision avant, et enfin pour la révision arrière (enfin, c’est un grand mot car on n’en a jamais vraiment fini avec ces choses-là). Le data-journalist John Millward, auto-proclamé écrivain-blogueur et accessoirement « détective d’idées », s’est amusé pour notre plus grand plaisir, à décortiquer nos affres érotico-maladifs.
Mais ne perdons pas de temps et entrons dans le vif du sujet, si vous le voulez bien. « Pour la première fois, les ventes d’un million de sextoys et 45 000 des commentaires associés ont été analysés pour révéler ce que nous faisons dans nos moments les plus intimes et sans inhibitions », écrit-il sur son site. Comme sa maman doit être fière. On doit bien lui reconnaitre ça : faire une étude sérieuse sur un sujet aussi jouissif, est un véritable tour de force. Mais en même temps entre des mains expertes, des thèmes les plus olé-olé peuvent sortir des conclusions relativement profondes et illustratrices de nos sociétés modernes (il est déjà l’auteur émérite d’une infographie sur les pornstars « Deep Inside », consultable ici).
Subtilement appelée « Down The Rabbit Hole » (grossièrement « dans le trou du lapin »), l’étude repose sur l’analyse des ventes de Lovehoney, le leader du secteur en Grande-Bretagne avec un million de produits écoulés par an. Bien entendu, le tout est en anglais, ce qui peut poser quelques problèmes à ceux qui comme moi, parlent et comprennent la langue de Shakespeare comme une vache espagnole qui se mettrait au québécois. Cela dit, l’industrie du sexe, en plus de muscler certaines parties du corps, contribue, grâce à certaines phrases récurrentes, à l’apprentissage de langues étrangères.
Suivons la queue du lapin rose et plongeons avec lui dans un univers des plus surprenants. Grâce à 10 tableaux hauts en couleur, on peut constater que les hommes ont un budget bien plus conséquent que les femmes (sur 250 000 acheteurs), qui ne se privent pourtant pas de leur vibro, grand favori devant le godemichet. Car sur tout le catalogue que propose la marque, certes le plaisir à pile figure en bonne place dans le classement mais n’est qu’en deuxième position derrière (si je puis m’exprimer ainsi) le lubrifiant ! Après il y a la lingerie et autres vêtements affriolants, qui bizarrement sont bien plus souvent acheté par des femmes que par des hommes. Mystères et boule arrière. Plug anal qui soit dit en passant, est le joujou préféré de ces messieurs (les « large butt plugs » représentent carrément 83% de leurs achats). L’homme aime voir en grand et en gros : 1/3 de ceux qui achètent un « gode réaliste » en choisissent un de 20 cm ou plus, contre 1/5 des femmes. Seulement 7% des femmes qui achètent un plug anal en choisissent un qui mesure plus de 15 cm de circonférence, « soit à peu près la largeur d’une canette de Red Bull » nous précise Millward, contre 16 % des hommes.
Mais c’est pas fini ! Les dames partageraient bien plus leurs jouets que les hommes qui préfèrent en majorité le faire tout seul comme des grands, à grand recours de poupées gonflables et autres faux vagins (on a eu un coup de que… cœur pour le vagin alien, bleu of course). Bref on vous laisse étudier de plus près tout ça, juste ici.
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